Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
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Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Au cours de cinq millénaires, les Mandaloriens ont combattu avec et contre un millier d'armées sur un millier de mondes. Ils ont appris à parler le même nombre de langues et intégré des technologies d'armement et des tactiques durant chaque guerre.
Pourtant, malgré cette influence écrasante d'autres cultures extraterrestres et l'absence de véritable planète natale et espèce spécifique, leur langage a non seulement survécu, mais il a peu varié; leur mode de vie et leur philosophie n'ont pas évolué; et leurs idéaux et leurs sens de la famille, de leur identité et de leur nation, se sont même renforcés. Ce qui fait le Mandalorien, c'est l'armure. L'armure n'est que la manifestation d'un coeur aussi impénétrable qu'imprenable.
(Mandaloriens: Identité et langage, publié par l'institut Galactique d'Anthropologie)
Par Karen Traviss
Pourtant, malgré cette influence écrasante d'autres cultures extraterrestres et l'absence de véritable planète natale et espèce spécifique, leur langage a non seulement survécu, mais il a peu varié; leur mode de vie et leur philosophie n'ont pas évolué; et leurs idéaux et leurs sens de la famille, de leur identité et de leur nation, se sont même renforcés. Ce qui fait le Mandalorien, c'est l'armure. L'armure n'est que la manifestation d'un coeur aussi impénétrable qu'imprenable.
(Mandaloriens: Identité et langage, publié par l'institut Galactique d'Anthropologie)
Par Karen Traviss
Dernière édition par yanfett7705 le Mar 23 Juin - 16:20, édité 3 fois (Raison : Ortho)
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Origines
Les mandaloriens sont un peuple de contradictions. Ils possèdent une identité propre et, pourtant, ne constituent pas une race en tant que telle. Ils n'ont pas de nation au sens classique du terme et sont éparpillés à travers la galaxie. Guerriers redoutés, ils possèdent une réputation féroce mais chérissent en même temps la vie de famille et adopteront les enfants que la guerre aurra laissés orphelins, au lieu de les exécuter comme le font parfois d'autres espèces. Cet étrange mélange de solide pragmatisme, de brutalité et de tendre vie familiale en fait pour beaucoup un profond mystère.
Par ailleurs, ils n'appartiennent probablement pas à la race mandalorienne d'origine. Les anthropologues sont, en effet, en désaccord sur leurs racines : sont-ils apparus sous une forme humaine ou, comme l'affirment encore quelques académiciens, en tant qu'espèce alien à la peau grise ? Mais quelle que soit la théorie privilégiée, une chose est sûre : il s'agit aujourd'hui d'une race de guerriers nomades à prédominance humaine.
Pour la vaste majorité des espèces, la culture est l'unique expréssion de l'être. Quand l'une d'elles est dépassée par une autre culture et finit par adopter ses croyanceset ses moeurs, elle ne conserve plus qu'un petit quelque chose de son ancien mode de vie.
Mais les Mandaloriens sont une exception : ils ont adopté une certaine cultures et se définissent uniquement par elle. Ironie de l'affaire, le parallèle le plus exact que l'on puisse établir avec eux nous est fourni par les Jedi, avec lesquels les Mandaloriens ont connu tant d'antagonismes et de conflits.
Quelle que soit la raison qui a poussé les premiers humains à adopter les coutumes et le langage mandaloriens, ce peuple accepte aujourd'hui toute personne désireuse de se soumettre à son code et les espèces non humaines sont les bienvenues au sein de la communauté. Les Mandaloriens considèrent, en effet, que ce sont les actes qui définissent l'identité, et non le hasard de la naissance.
Ils restent toutefois majoritairement constitués d'humains et un important pourcentage de leurs population présente des caractéristiques génétiques génétiques typiques des peuples de Concord Dawn et des planètes avoisinantes. Bien qu'il n'existe pas de véritable type ethnique mandalorien, la prédominance de groupe génétiques communs indique que certaines populations spécifiques ont été absorbées par les Mandaloriens ou les ont rejoints.
Concord Dawn en est un bon exemple. Jango Fett, personnage symbolique de l'histoire mandalorienne, a été adopté. Or, son génome partageait déjà de nombreuses caractéristiques avec sa communauté d'adoption. Sans planification délibérée, les Mandaloriens se sont donc formés eux-mêmes de manière sélective en fonction de certains traits qu'on considère aujourd'hui propres à leur peuple : la discipline, des liens familiaux étroits, d'extraordinaires aptitudes au combat et une loyauté sans faille.
Les mandaloriens sont un peuple de contradictions. Ils possèdent une identité propre et, pourtant, ne constituent pas une race en tant que telle. Ils n'ont pas de nation au sens classique du terme et sont éparpillés à travers la galaxie. Guerriers redoutés, ils possèdent une réputation féroce mais chérissent en même temps la vie de famille et adopteront les enfants que la guerre aurra laissés orphelins, au lieu de les exécuter comme le font parfois d'autres espèces. Cet étrange mélange de solide pragmatisme, de brutalité et de tendre vie familiale en fait pour beaucoup un profond mystère.
Par ailleurs, ils n'appartiennent probablement pas à la race mandalorienne d'origine. Les anthropologues sont, en effet, en désaccord sur leurs racines : sont-ils apparus sous une forme humaine ou, comme l'affirment encore quelques académiciens, en tant qu'espèce alien à la peau grise ? Mais quelle que soit la théorie privilégiée, une chose est sûre : il s'agit aujourd'hui d'une race de guerriers nomades à prédominance humaine.
Pour la vaste majorité des espèces, la culture est l'unique expréssion de l'être. Quand l'une d'elles est dépassée par une autre culture et finit par adopter ses croyanceset ses moeurs, elle ne conserve plus qu'un petit quelque chose de son ancien mode de vie.
Mais les Mandaloriens sont une exception : ils ont adopté une certaine cultures et se définissent uniquement par elle. Ironie de l'affaire, le parallèle le plus exact que l'on puisse établir avec eux nous est fourni par les Jedi, avec lesquels les Mandaloriens ont connu tant d'antagonismes et de conflits.
Quelle que soit la raison qui a poussé les premiers humains à adopter les coutumes et le langage mandaloriens, ce peuple accepte aujourd'hui toute personne désireuse de se soumettre à son code et les espèces non humaines sont les bienvenues au sein de la communauté. Les Mandaloriens considèrent, en effet, que ce sont les actes qui définissent l'identité, et non le hasard de la naissance.
Ils restent toutefois majoritairement constitués d'humains et un important pourcentage de leurs population présente des caractéristiques génétiques génétiques typiques des peuples de Concord Dawn et des planètes avoisinantes. Bien qu'il n'existe pas de véritable type ethnique mandalorien, la prédominance de groupe génétiques communs indique que certaines populations spécifiques ont été absorbées par les Mandaloriens ou les ont rejoints.
Concord Dawn en est un bon exemple. Jango Fett, personnage symbolique de l'histoire mandalorienne, a été adopté. Or, son génome partageait déjà de nombreuses caractéristiques avec sa communauté d'adoption. Sans planification délibérée, les Mandaloriens se sont donc formés eux-mêmes de manière sélective en fonction de certains traits qu'on considère aujourd'hui propres à leur peuple : la discipline, des liens familiaux étroits, d'extraordinaires aptitudes au combat et une loyauté sans faille.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Des Guerriers Nomades
Les peuples nomades accordent une grande importance aux talent personnels, plus qu'aux posséssions, et cet aspect de la mentalité mando sous-tend toute leur société. Même dans les communautés sédentaires de Mandalore, l'éthique du guerrier nomade n'a pas disparu.
Inévitablement, une race de guerriers nomades sans territoire fixe à défendre finit par se livrer à des activités mercenaires. Pendant des siècles, les Mando'ade (ou les enfants de Mandalore, comme ils se nomment eux-mêmes) n'ont ainsi été considérés que comme des chasseurs de primes, des assassins et des mercenaires.
Mais tous les Mando'ade ne passent pas forcément leur vie à louer leurs talent de soldats. Leur passé de mercenaires est très récent et relativement bref, et ils exercent d'autres métiers liés au domaine militaire qui leur permettent de vivre en période de paix.
Beaucoup, dispersés en petites communautés à travers la galaxie, travaillent comme armuriers ou garde du corps, ou dans d'autre secteurs que les populations d'accueil trouvent trop dangereux ou trop sales. Un grand nombre d'entre eux restent dans la région de Mandalore à travailler la terre ou à gagner leur vie dans des usines et des ateliers. Tous, cependant, sont capables de former une armée en un clein d'oeil.
Au fil des siècles, de nombreuses personnes se sont intérogées sur ce qui pousse les Mandaloriens à rester fidèles à leurs moeurs nomades malgré l'existance de leur planète natale de Mandalore. La réponse réside avant tout dans l'importance qu'ils accordent aux traditions. Les Mandaloriens se dispersent afin de ne pas offrir à leurs ennemis de cibles faciles. Ainsi, en dépit d'attaques répétées dont on pensait qu'elles les avaient éliminés, les résistants Mandaloriens ont toujours refait surface.
Même s'ils gagnent aujourd'hui souvent leur vie en tant que mercenaires, ils ont passé la majeur partie de leur histoire à combattre pour leur propre cause et non celles des autres. Pourtant, s'ils représentent un ennemi impitoyable, ils font preuve d'une clémence inattendue en période de guerre en adoptant les orphelins induits par le conflit.
Les peuples nomades accordent une grande importance aux talent personnels, plus qu'aux posséssions, et cet aspect de la mentalité mando sous-tend toute leur société. Même dans les communautés sédentaires de Mandalore, l'éthique du guerrier nomade n'a pas disparu.
Inévitablement, une race de guerriers nomades sans territoire fixe à défendre finit par se livrer à des activités mercenaires. Pendant des siècles, les Mando'ade (ou les enfants de Mandalore, comme ils se nomment eux-mêmes) n'ont ainsi été considérés que comme des chasseurs de primes, des assassins et des mercenaires.
Mais tous les Mando'ade ne passent pas forcément leur vie à louer leurs talent de soldats. Leur passé de mercenaires est très récent et relativement bref, et ils exercent d'autres métiers liés au domaine militaire qui leur permettent de vivre en période de paix.
Beaucoup, dispersés en petites communautés à travers la galaxie, travaillent comme armuriers ou garde du corps, ou dans d'autre secteurs que les populations d'accueil trouvent trop dangereux ou trop sales. Un grand nombre d'entre eux restent dans la région de Mandalore à travailler la terre ou à gagner leur vie dans des usines et des ateliers. Tous, cependant, sont capables de former une armée en un clein d'oeil.
Au fil des siècles, de nombreuses personnes se sont intérogées sur ce qui pousse les Mandaloriens à rester fidèles à leurs moeurs nomades malgré l'existance de leur planète natale de Mandalore. La réponse réside avant tout dans l'importance qu'ils accordent aux traditions. Les Mandaloriens se dispersent afin de ne pas offrir à leurs ennemis de cibles faciles. Ainsi, en dépit d'attaques répétées dont on pensait qu'elles les avaient éliminés, les résistants Mandaloriens ont toujours refait surface.
Même s'ils gagnent aujourd'hui souvent leur vie en tant que mercenaires, ils ont passé la majeur partie de leur histoire à combattre pour leur propre cause et non celles des autres. Pourtant, s'ils représentent un ennemi impitoyable, ils font preuve d'une clémence inattendue en période de guerre en adoptant les orphelins induits par le conflit.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
tu les tires d'où tes articles ? à moins que tu ne les ai ecrtis toi meme
Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Ce Qui Fait Le Mandalorien
La géographie joue un rôle très vague dans l'identité mandalorienne. Bien que Mandalore soit considérée comme leur planète natale, beaucoup de Mandaloriens n'y sont pas nés et n'y ont jamais mis les pieds.
Leur société ne met pas l'accent sur le lieu de naissance, l'espèce ou la citoyenneté, et les Mando'ade ne possèdent donc pas "d'état" tel que le conçoit la politique galactique moderne. Ne tenant aucun compte du rang et du statut, ils préfèrent juger les autres par leurs actions et leurs exploits, ce qui constitue le fondement d'une véritable meritrocratie. Le Mandalore, ou chef des clans, est chez eux ce qui se rapproche le plus d'un chef d'état. Pour autant, personne ne confond les mandaloriens avec une autre race...
Les Mando'ade considèrent les six actes suivants (appelés les Six Actions, ou Resol'Nare) comme un élément central de l'identité mandalorienne : porter une armure, parler le mandalorien, se défendre soi-même et sa famille, élever ses enfants comme des Mandaloriens, contribuer au bien-être du clan et se rallier aux Mand'alore en cas de conflit. Toute personne respectant ce code est considérée comme un Mando'ad. L'important est toutefois d'agir de la sorte sur une base quotidienne, et non de manifester pour ses règles un intérêt de pure forme.
Pour un peuple ne semblant attacher que peu d'importance aux rangs et à la hiérarchie, les Mandaloriens font preuve au combat d'un esprit de coopération particulièrement développé. Leur farouche individualité, si prononcée dans leurs approche de la vie, est alors écartée au profit du but commun et ils feront n'importe quoi pour atteindre leur objectif. Leurs forces s'organisent ainsi presque spontanément en structures de commandement informelles, qui se concentrent alors sur l'issue de la bataille et non sur les ambitions personnelles. C'est également cette souplesse instinctive qui en fait d'excellent mercenaires.
Du fait de leur tendance à s'auto-sélectionner, ils attirent et retiennent les individus partageant les mêmes mentalités et prédispositions génétiques, ce qui renforce encore ses traits : plus les soldats ont tendance à coopérer sur le champ de bataille, plus ils sont susceptibles de survivre et d'avoir des enfants partageant ces caractéristiques.
La géographie joue un rôle très vague dans l'identité mandalorienne. Bien que Mandalore soit considérée comme leur planète natale, beaucoup de Mandaloriens n'y sont pas nés et n'y ont jamais mis les pieds.
Leur société ne met pas l'accent sur le lieu de naissance, l'espèce ou la citoyenneté, et les Mando'ade ne possèdent donc pas "d'état" tel que le conçoit la politique galactique moderne. Ne tenant aucun compte du rang et du statut, ils préfèrent juger les autres par leurs actions et leurs exploits, ce qui constitue le fondement d'une véritable meritrocratie. Le Mandalore, ou chef des clans, est chez eux ce qui se rapproche le plus d'un chef d'état. Pour autant, personne ne confond les mandaloriens avec une autre race...
Les Mando'ade considèrent les six actes suivants (appelés les Six Actions, ou Resol'Nare) comme un élément central de l'identité mandalorienne : porter une armure, parler le mandalorien, se défendre soi-même et sa famille, élever ses enfants comme des Mandaloriens, contribuer au bien-être du clan et se rallier aux Mand'alore en cas de conflit. Toute personne respectant ce code est considérée comme un Mando'ad. L'important est toutefois d'agir de la sorte sur une base quotidienne, et non de manifester pour ses règles un intérêt de pure forme.
Pour un peuple ne semblant attacher que peu d'importance aux rangs et à la hiérarchie, les Mandaloriens font preuve au combat d'un esprit de coopération particulièrement développé. Leur farouche individualité, si prononcée dans leurs approche de la vie, est alors écartée au profit du but commun et ils feront n'importe quoi pour atteindre leur objectif. Leurs forces s'organisent ainsi presque spontanément en structures de commandement informelles, qui se concentrent alors sur l'issue de la bataille et non sur les ambitions personnelles. C'est également cette souplesse instinctive qui en fait d'excellent mercenaires.
Du fait de leur tendance à s'auto-sélectionner, ils attirent et retiennent les individus partageant les mêmes mentalités et prédispositions génétiques, ce qui renforce encore ses traits : plus les soldats ont tendance à coopérer sur le champ de bataille, plus ils sont susceptibles de survivre et d'avoir des enfants partageant ces caractéristiques.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Comme dit plus haut, c'est l'oeuvre de Karen Traviss. Qui a été publié dans le Lucasfilm n°58 où un passage leur est dédié...
J'ai demandé à Chaad si je pouvais le reproduire et il a été d'accord.
Il y a surement pas mal de personne qui n'ont pas ce magazine et je trouvais ça bien de le partager avec vous...
J'ai demandé à Chaad si je pouvais le reproduire et il a été d'accord.
Il y a surement pas mal de personne qui n'ont pas ce magazine et je trouvais ça bien de le partager avec vous...
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
je l'ai mais je ne reconnaissais pas les articles XD
je regarderais
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Je l'avais mais je crois que je l'ai paumé^^
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
La Société Mandalorienne
La langue mandalorienne ne possède pas de genre. Cette absence reflète les statuts égaux de l'homme et de la femme, ainsi que la souplesse générale des rôles dans cette société malgré ce qui semble à beaucoup comme une répartition traditionnelle des tâches entre les sexes.
Ainsi, on attend des hommes qu'ils soient des guerriers, et qu'ils élèvent et entraînent leurs fils pour qu'ils marchent sur les traces de leurs pères.
Les femmes s'occupennt du foyer quel que soit le lieu de résidence actuel de ces nomades, et elles élèvent les filles. Toutefois, les femmes doivent posséder les mêmes aptitudes au combat que les hommes afin de pouvoir défendre leur demeure en l'absence de ces derniers. En outre, elles combattent aux côtés des hommes sur le champ de bataille. Quand elles n'ont pas d'enfants dont elles doivent s'occuper, il leur faut partager les responsabilités de la défense et de la guerre.
Comme on s'en doute, l'idéal mandalorien féminin respecté par les hommes n'est pas fragile et gracieux, mais physiquement fort, résistant et solide. Le mot laandur, qui signifie délicat, est une insulte courante parmi les femmes. Et l'imprudent qui laisse entendre qu'une femme mando est une mauvaise mère, une piètre combattante ou une laandur devra vite faire le douloureux constat de son erreur...
Le mariage est censé durer toute la vie (parfois assez courte chez les guerriers) et a généralemet lieu après l'âge de 16 ans. Pour s'engager légalement, il suffit aux membres d'un couple de se prononcer mutuellement ce serment :
"Mhi solus tome
Mhi solus dar'tome
Mhi me'dinui an
Mhi ba'juri verde"
"Nous sommes un quand nous sommes ensemble
Nous sommes un quand nouus sommes séparés
Nous partageons tout
Nous élèverons des guerriers"
Malgré l'importance qu'ils accordent à la fidélité et à la chasteté avant le mariage, les Mandaloriens sont étonnament tolérants et peu soucieux des origines parentales. Préférant l'action et le pragmatisme aux mots et aux intentions, ils sont d'avis que aliit ori'ysha tal'din [la famille ne se limite pas aux liens du sang]. Ce qui compte pour eux, c'est l'affirmation quotidienne de la vie de famille, ce qui explique leur propension à l'adoption et à l'acceptation d'adultes dans le sérail mando. La communauté mandalorienne comportant de nombreux orphelins et veuves, les mâles adultes étrangers ne sont pas seulement les bienvenus : ils sont une nécessité.
Le processus d'adoption, comme le mariage, est un simple constat d'intention : le gai bal manda (le nom et l'âme) prend sa place dans la déclaration ni kyr'tayl gai sa'ad (je reconnais ton nom comme mon enfant). Ceci, ainsi qu'une adhésion constante aux six doctrines de la vie mandalorienne, suffit à devenir mandalorien.
Inversement, il est tout à fait possible de perdre son statut de Mandalorien, d'y renoncer ou même de s'en voir privé. L'exil est une punition rare, mais crainte.
La langue mandalorienne ne possède pas de genre. Cette absence reflète les statuts égaux de l'homme et de la femme, ainsi que la souplesse générale des rôles dans cette société malgré ce qui semble à beaucoup comme une répartition traditionnelle des tâches entre les sexes.
Ainsi, on attend des hommes qu'ils soient des guerriers, et qu'ils élèvent et entraînent leurs fils pour qu'ils marchent sur les traces de leurs pères.
Les femmes s'occupennt du foyer quel que soit le lieu de résidence actuel de ces nomades, et elles élèvent les filles. Toutefois, les femmes doivent posséder les mêmes aptitudes au combat que les hommes afin de pouvoir défendre leur demeure en l'absence de ces derniers. En outre, elles combattent aux côtés des hommes sur le champ de bataille. Quand elles n'ont pas d'enfants dont elles doivent s'occuper, il leur faut partager les responsabilités de la défense et de la guerre.
Comme on s'en doute, l'idéal mandalorien féminin respecté par les hommes n'est pas fragile et gracieux, mais physiquement fort, résistant et solide. Le mot laandur, qui signifie délicat, est une insulte courante parmi les femmes. Et l'imprudent qui laisse entendre qu'une femme mando est une mauvaise mère, une piètre combattante ou une laandur devra vite faire le douloureux constat de son erreur...
Le mariage est censé durer toute la vie (parfois assez courte chez les guerriers) et a généralemet lieu après l'âge de 16 ans. Pour s'engager légalement, il suffit aux membres d'un couple de se prononcer mutuellement ce serment :
"Mhi solus tome
Mhi solus dar'tome
Mhi me'dinui an
Mhi ba'juri verde"
"Nous sommes un quand nous sommes ensemble
Nous sommes un quand nouus sommes séparés
Nous partageons tout
Nous élèverons des guerriers"
Malgré l'importance qu'ils accordent à la fidélité et à la chasteté avant le mariage, les Mandaloriens sont étonnament tolérants et peu soucieux des origines parentales. Préférant l'action et le pragmatisme aux mots et aux intentions, ils sont d'avis que aliit ori'ysha tal'din [la famille ne se limite pas aux liens du sang]. Ce qui compte pour eux, c'est l'affirmation quotidienne de la vie de famille, ce qui explique leur propension à l'adoption et à l'acceptation d'adultes dans le sérail mando. La communauté mandalorienne comportant de nombreux orphelins et veuves, les mâles adultes étrangers ne sont pas seulement les bienvenus : ils sont une nécessité.
Le processus d'adoption, comme le mariage, est un simple constat d'intention : le gai bal manda (le nom et l'âme) prend sa place dans la déclaration ni kyr'tayl gai sa'ad (je reconnais ton nom comme mon enfant). Ceci, ainsi qu'une adhésion constante aux six doctrines de la vie mandalorienne, suffit à devenir mandalorien.
Inversement, il est tout à fait possible de perdre son statut de Mandalorien, d'y renoncer ou même de s'en voir privé. L'exil est une punition rare, mais crainte.
yanfett7705- Modérateur
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
yanfett7705 a écrit:
Malgré l'importance qu'ils accordent à la fidélité
euh, je suis pas d'accord sur ce point ^^ ils s'en foutent des infidélités vu que les couples sont longtemps séparés par les guerres, mais il faut seulement que ca n'engendre pas d'enfant
Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Ou tu a vu ça ??? Je n'ai jamais entendu parlé d'infidelité chez les mando...
Les Mandies sont des personnes d'honneur, je trouve que ça leur correspond bien.
Les Mandies sont des personnes d'honneur, je trouve que ça leur correspond bien.
yanfett7705- Modérateur
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
yanfett7705 a écrit:d'un coeur aussi impénétrable qu'imprenable.
Kandosii sa ka r'ta, vode an...
Dernière édition par Kern le Jeu 25 Juin - 15:23, édité 1 fois
Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
La Famille Mandalorienne
"Leur définition de la progéniture et des parents tient davantage des relations que de la naissance : l'adoption est un phénomène extrêmement courant et il n'est pas rare que les mercenaires accueillent comme leur propre fils ou fille au sein de leur famille les orphelins générés par les guerres, s'ils les impressionnent par leur agressivité et leur ténacité."
(Mandaloriens : Leur Identité et Son Influence sur le Génome, publié par l'Institut Galactique d'Anthropologie.)
Dans des circonstances exceptionnelles, comme l'abandon ou l'impossibilité de faire face à ses responsabilités, les partenaires peuvent divorcer en déclarant simplement qu'ils sont shuk'la riduurok (un amour brisé). Les enfants peuvent également renier leur père ou leur mère en les déclarant dar'buir (plus un parent). Mais ce cas reste rare et suit généralement un abandon ou un acte de lâcheté qui jette l'opprobre sur la famille.
Si leur premier enfant est un fils, les parents attendront huit ans avant d'en avoir un deuxième, afin que le premier soit suffisamment vieux pour accompagner son père et suivre son entraînement de soldat pendant cinq ans, à savoir jusqu'à l'âge adulte, 13 ans. Son père est alors libre d'entraîné un fils plus jeune. A 13 ans, les filles comme les garçons subissent un rite de passage leur permettant de faire preuve de leurs compétences militaires et de survie, et qui fait d'eux des adultes au regard de la loi.
Si le premier né est une fille, le couple à le droit d'essayer d'avoir un garçon peu de temps après. Les filles restent généralement avec leur mère jusqu'à leur mariage. Mais si un couple n'a que des filles, ces dernières recoivent de leur père une formation de guerrières comme si elles étaient des garçons. Les garçons prennent leurs premières leçons auprès de leur mère avant l'âge de 8 ans, et ces compétences de combat sont donc essentielles : un couple a fait le serment d'élever des guerriers et il s'agit d'un engagement mutuel.
Les femmes doivent développer les compétences de combat de leurs filles, mais les pères jouent également un rôle dans leur éducation. En dépit de leur réputation farouchement masculine, les hommes mandaloriens jouent un rôle actif dans l'éducation de leur famille. La plupart possède un instinct parental très développé (une des caractéristiques génétiques qui se sont renforcées grâce aux populations intégrées).
Le devoir des parents est de former leurs enfants aux techniques de survie, à la culture et au langage mandaloriens et de les préparer à élever la prochaine génération de guerriers. Les aînés imprègnent les enfants des idéaux mandaloriens essentiels de loyauté envers le clan et la famille, de discipline personnelle, de courage et de respect pour leur héritage.
Le mode de vie mandalorien est dangereux, et veuves et orphelins font partie de la vie. Les familles n'hésitent donc jamais à adopter des orphelins, et les hommes et femmes non mariés considèrent comme leur devoir d'épouser des veufs ou des veuves.
"Leur définition de la progéniture et des parents tient davantage des relations que de la naissance : l'adoption est un phénomène extrêmement courant et il n'est pas rare que les mercenaires accueillent comme leur propre fils ou fille au sein de leur famille les orphelins générés par les guerres, s'ils les impressionnent par leur agressivité et leur ténacité."
(Mandaloriens : Leur Identité et Son Influence sur le Génome, publié par l'Institut Galactique d'Anthropologie.)
Dans des circonstances exceptionnelles, comme l'abandon ou l'impossibilité de faire face à ses responsabilités, les partenaires peuvent divorcer en déclarant simplement qu'ils sont shuk'la riduurok (un amour brisé). Les enfants peuvent également renier leur père ou leur mère en les déclarant dar'buir (plus un parent). Mais ce cas reste rare et suit généralement un abandon ou un acte de lâcheté qui jette l'opprobre sur la famille.
Si leur premier enfant est un fils, les parents attendront huit ans avant d'en avoir un deuxième, afin que le premier soit suffisamment vieux pour accompagner son père et suivre son entraînement de soldat pendant cinq ans, à savoir jusqu'à l'âge adulte, 13 ans. Son père est alors libre d'entraîné un fils plus jeune. A 13 ans, les filles comme les garçons subissent un rite de passage leur permettant de faire preuve de leurs compétences militaires et de survie, et qui fait d'eux des adultes au regard de la loi.
Si le premier né est une fille, le couple à le droit d'essayer d'avoir un garçon peu de temps après. Les filles restent généralement avec leur mère jusqu'à leur mariage. Mais si un couple n'a que des filles, ces dernières recoivent de leur père une formation de guerrières comme si elles étaient des garçons. Les garçons prennent leurs premières leçons auprès de leur mère avant l'âge de 8 ans, et ces compétences de combat sont donc essentielles : un couple a fait le serment d'élever des guerriers et il s'agit d'un engagement mutuel.
Les femmes doivent développer les compétences de combat de leurs filles, mais les pères jouent également un rôle dans leur éducation. En dépit de leur réputation farouchement masculine, les hommes mandaloriens jouent un rôle actif dans l'éducation de leur famille. La plupart possède un instinct parental très développé (une des caractéristiques génétiques qui se sont renforcées grâce aux populations intégrées).
Le devoir des parents est de former leurs enfants aux techniques de survie, à la culture et au langage mandaloriens et de les préparer à élever la prochaine génération de guerriers. Les aînés imprègnent les enfants des idéaux mandaloriens essentiels de loyauté envers le clan et la famille, de discipline personnelle, de courage et de respect pour leur héritage.
Le mode de vie mandalorien est dangereux, et veuves et orphelins font partie de la vie. Les familles n'hésitent donc jamais à adopter des orphelins, et les hommes et femmes non mariés considèrent comme leur devoir d'épouser des veufs ou des veuves.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Religion et Spiritualité
Les Mandaloriens possèdent leur tradition de mythes religieux, mais ils n'adorent pas de divinités spécifiques. Ils considèrent les contes racontant la création du monde, comme le Akaanati'kar'oya (La Guerre de la Vie et de la Mort), comme des paraboles illustrant une vérité philosophique plus profonde, et non comme des manifestations surnaturelles littérales. Leur mythologie considère les étoiles comme des rois tombés de Mandalore, et certains contes parle de créatures mythiques, mais les pragmatiques et sceptiques Mandaloriens ne voient en ces histoires que des allégories.
Le manda (dont la meilleur définition est peut-être à la fois "être collectif", "essence de l'identité mandalorienne" et "âme supérieure") n'est pas considéré comme un véritable paradis. Traditionnellement, la vie après la mort du Manda est envisagée comme un plan d'énergie spirituelle marqué par un conflit permanent entre la stagnation et la possibilité de changement apportée par la destruction. Dans la mythologie mandalorienne, ce conflit est symbolisé par la guerre éternelle que se livrent le dieu de la paresse Arasuum (personnification de la consomation oisive et de la stagnation) et le vigoureux dieu destructeur Kad Ha'rangir, qui impose à l'univers de changer et de grandir.
Chaque guerrier mando qui meurt est ainsi censé venir s'ajouter à l'armée de la vie après la mort, pour défendre les femmes et les enfants vivant dans ce domaine éternel et tranquiller, seul endroit où les Mandaloriens pensent pouvoir jamais atteindre un état d'existence non transitoire.
Les Mandaloriens possèdent leur tradition de mythes religieux, mais ils n'adorent pas de divinités spécifiques. Ils considèrent les contes racontant la création du monde, comme le Akaanati'kar'oya (La Guerre de la Vie et de la Mort), comme des paraboles illustrant une vérité philosophique plus profonde, et non comme des manifestations surnaturelles littérales. Leur mythologie considère les étoiles comme des rois tombés de Mandalore, et certains contes parle de créatures mythiques, mais les pragmatiques et sceptiques Mandaloriens ne voient en ces histoires que des allégories.
Le manda (dont la meilleur définition est peut-être à la fois "être collectif", "essence de l'identité mandalorienne" et "âme supérieure") n'est pas considéré comme un véritable paradis. Traditionnellement, la vie après la mort du Manda est envisagée comme un plan d'énergie spirituelle marqué par un conflit permanent entre la stagnation et la possibilité de changement apportée par la destruction. Dans la mythologie mandalorienne, ce conflit est symbolisé par la guerre éternelle que se livrent le dieu de la paresse Arasuum (personnification de la consomation oisive et de la stagnation) et le vigoureux dieu destructeur Kad Ha'rangir, qui impose à l'univers de changer et de grandir.
Chaque guerrier mando qui meurt est ainsi censé venir s'ajouter à l'armée de la vie après la mort, pour défendre les femmes et les enfants vivant dans ce domaine éternel et tranquiller, seul endroit où les Mandaloriens pensent pouvoir jamais atteindre un état d'existence non transitoire.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Le Concept de Dar'manda
La spiritualité mandalorienne trouve ses racines dans le pragmatisme. Ce sont le respect des voies mandaloriennes et la croyance dans les idéaux de la communauté qui permettent à ce peuple nomade de conserver son intégrité et de préserver son identité. Si ces principes n'étaient plus honorés, la communauté disparaîtrait ou se fonderait dans sa population d'accueil. En l'absence d'une espèce unique, d'un héritage ethnique et d'un territoire fixe, seules les valeurs et la culture survivent et peuvent être transmises d'une génération à l'autre. Si elles ne sont pas protégées et renforcées avec rigueur, la communauté est condamnée.
Généralement, les mandaloriens considèrent le fait d'être un Dar'manda (une personne ignorante de son héritage mandalorien) comme le pire sort imaginable. Il s'agit d'un concept difficile à saisir pour les non-Mandaloriens (Aruetiise, qui peut tous vouloir dire, depuis non-Mando jusqu'à ennemi), mais cela revient à peu près au fait de ne pas avoir d'âme et donc de ne pas connaître de vie après la mort. L'anéantissement de l'identité personnelle reflète le véritable anéantissement auquel un peuple qui perd la culture qui le définit doit faire face. Bien que peut de Mandaloriens croient véritablement à une vie après la mort, ils croient bel et bien au manda.
Pour faire partie du manda, l'état spirituel commun lié à l'identité de Mando'ade, un homme ou une femme doit comprendre les bases de sa culture et incarner les idéaux du kar'ta mandalorien (le coeur ou, dans ce cas, l'âme). Ce qui signifie responsabilité envers la prochaine génration, loyauté envers son propre peuple et esprit combatif. Sans cela, on est considéré comme perdu pour l'éternité.
L'obligation morale imposant de faire en sorte que les enfants connaissent suffisamment leur héritage pour appartenir au manda a conduit les Cuy'val Dar (les instructeurs mandaloriens recrutés pour entrainer les soldats clones de la Grande Armée de la République) à former leurs hommes aux cultures mando comme s'il s'agissait de leurs propres fils. Ils pensaient, en effet, que même si ces soldats mouraient au combat sans jamais vivre dans une véritable communauté mando, ils trouveraient malgré cela une place éternelle dans la conscience collective.
La spiritualité mandalorienne trouve ses racines dans le pragmatisme. Ce sont le respect des voies mandaloriennes et la croyance dans les idéaux de la communauté qui permettent à ce peuple nomade de conserver son intégrité et de préserver son identité. Si ces principes n'étaient plus honorés, la communauté disparaîtrait ou se fonderait dans sa population d'accueil. En l'absence d'une espèce unique, d'un héritage ethnique et d'un territoire fixe, seules les valeurs et la culture survivent et peuvent être transmises d'une génération à l'autre. Si elles ne sont pas protégées et renforcées avec rigueur, la communauté est condamnée.
Généralement, les mandaloriens considèrent le fait d'être un Dar'manda (une personne ignorante de son héritage mandalorien) comme le pire sort imaginable. Il s'agit d'un concept difficile à saisir pour les non-Mandaloriens (Aruetiise, qui peut tous vouloir dire, depuis non-Mando jusqu'à ennemi), mais cela revient à peu près au fait de ne pas avoir d'âme et donc de ne pas connaître de vie après la mort. L'anéantissement de l'identité personnelle reflète le véritable anéantissement auquel un peuple qui perd la culture qui le définit doit faire face. Bien que peut de Mandaloriens croient véritablement à une vie après la mort, ils croient bel et bien au manda.
Pour faire partie du manda, l'état spirituel commun lié à l'identité de Mando'ade, un homme ou une femme doit comprendre les bases de sa culture et incarner les idéaux du kar'ta mandalorien (le coeur ou, dans ce cas, l'âme). Ce qui signifie responsabilité envers la prochaine génration, loyauté envers son propre peuple et esprit combatif. Sans cela, on est considéré comme perdu pour l'éternité.
L'obligation morale imposant de faire en sorte que les enfants connaissent suffisamment leur héritage pour appartenir au manda a conduit les Cuy'val Dar (les instructeurs mandaloriens recrutés pour entrainer les soldats clones de la Grande Armée de la République) à former leurs hommes aux cultures mando comme s'il s'agissait de leurs propres fils. Ils pensaient, en effet, que même si ces soldats mouraient au combat sans jamais vivre dans une véritable communauté mando, ils trouveraient malgré cela une place éternelle dans la conscience collective.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
La Vie et la Mort au Quotidien
Le concept mando du foyer (yaim) désigne la sensation de sécurité et de confort que l'on peut ressentir dans les habitations temporaires. Pour un Mandalorien, le foyer est là où se trouve l'armure.
Certaines races nomades emportent des tentes, mais les Mando'ade préfèrent soit consrtuire des structures temporaires, connus sous le nom de vheh'yaime, à partir de bois vert et de boue, soit s'emparer des demeures des ennemis vaincus au combat. "Temporaire" peut désigner n'importe quelle période du temps, d'une seule nuit à plusieurs années. La seule certitude est que le soldat ou la famille mando ne considère jamais sa demeure comme permanente. Ils sont toujours prèt à partir en un clin d'oeil.
Chez les races sédentaires, les fêtes annuelles découlent généralement du cycle des saisons de la planète natale mais, les Mando'ade voyageant d'un monde à l'autre, ils ont souvent perdu tous lien avec ce cycle. Ceux qui sont originaires de Concord Dawn (traditionnellement une communauté fermière) fètent toujours la fin de la récolte d'après le calendrier de ce monde, mais de manière générale, les évènements liés au cycle de l'existence (naissance, âge adulte, mariage, mort) restent les seuls à être célébrés.
L'incertitude qui entoure le quotidien des gueriers nomades pousse la plupart des Mandaloriens à fêter la vie dès qu'ils en ont la possibilité, à apprécier la bière, à chanter des chansons et à se détendre au sein de la famille et du clan.
Pour les guerriers professionnels, la mort subite est un risque qui fait partie du métier. Au demeurant, les Mandaloriens ne prennent pas ce risque avec autant de calme que les Aruetiise peuvent s'imaginer.
Les enterrements restent quelque chose d'inhabituel (les Mand'alore et d'autres personnes d'importance nationale constituant une exception), les nomades n'ayant généralement pas de cimetière. Il est, en outre, peu pratique de remporter les corps lorsque les hommes meurent au combat. Les communautés brûlent donc leurs morts s'ils peuvent récupérer les dépouillents, dispersent les cendres et conservent une des posséssions du défunt en souvenir. Il s'agit souvent d'une armure, objet de grande valeur. Si l'armure ne peut pas être récupérée ou gardée, on se contente de certaines parties comme le casque, les gants ou la ceinture. Les Mando'ade récitent les noms des êtres chers et des camarades disparus chaque soir avant de se coucher afin d'entretenir leur souvenir... et donc leur existence.
Il existe un seul mot mando'a, aay'han, pour décrire l'état d'esprit dans lequel se trouvent les Mandaloriens lorsqu'ils savourent un moment de paix avec leur famille et leurs camarades, et quand ils pleurent leurs disparus. En basic, la meilleur traduction possible serait "doux-amer", mais elle est loin de restituer l'importance de ce concept pour les Mandaloriens. De fait, la dualité de cette émotion correspond tout a fait à ce peuple pétri de contradictions.
Le concept mando du foyer (yaim) désigne la sensation de sécurité et de confort que l'on peut ressentir dans les habitations temporaires. Pour un Mandalorien, le foyer est là où se trouve l'armure.
Certaines races nomades emportent des tentes, mais les Mando'ade préfèrent soit consrtuire des structures temporaires, connus sous le nom de vheh'yaime, à partir de bois vert et de boue, soit s'emparer des demeures des ennemis vaincus au combat. "Temporaire" peut désigner n'importe quelle période du temps, d'une seule nuit à plusieurs années. La seule certitude est que le soldat ou la famille mando ne considère jamais sa demeure comme permanente. Ils sont toujours prèt à partir en un clin d'oeil.
Chez les races sédentaires, les fêtes annuelles découlent généralement du cycle des saisons de la planète natale mais, les Mando'ade voyageant d'un monde à l'autre, ils ont souvent perdu tous lien avec ce cycle. Ceux qui sont originaires de Concord Dawn (traditionnellement une communauté fermière) fètent toujours la fin de la récolte d'après le calendrier de ce monde, mais de manière générale, les évènements liés au cycle de l'existence (naissance, âge adulte, mariage, mort) restent les seuls à être célébrés.
L'incertitude qui entoure le quotidien des gueriers nomades pousse la plupart des Mandaloriens à fêter la vie dès qu'ils en ont la possibilité, à apprécier la bière, à chanter des chansons et à se détendre au sein de la famille et du clan.
Pour les guerriers professionnels, la mort subite est un risque qui fait partie du métier. Au demeurant, les Mandaloriens ne prennent pas ce risque avec autant de calme que les Aruetiise peuvent s'imaginer.
Les enterrements restent quelque chose d'inhabituel (les Mand'alore et d'autres personnes d'importance nationale constituant une exception), les nomades n'ayant généralement pas de cimetière. Il est, en outre, peu pratique de remporter les corps lorsque les hommes meurent au combat. Les communautés brûlent donc leurs morts s'ils peuvent récupérer les dépouillents, dispersent les cendres et conservent une des posséssions du défunt en souvenir. Il s'agit souvent d'une armure, objet de grande valeur. Si l'armure ne peut pas être récupérée ou gardée, on se contente de certaines parties comme le casque, les gants ou la ceinture. Les Mando'ade récitent les noms des êtres chers et des camarades disparus chaque soir avant de se coucher afin d'entretenir leur souvenir... et donc leur existence.
Il existe un seul mot mando'a, aay'han, pour décrire l'état d'esprit dans lequel se trouvent les Mandaloriens lorsqu'ils savourent un moment de paix avec leur famille et leurs camarades, et quand ils pleurent leurs disparus. En basic, la meilleur traduction possible serait "doux-amer", mais elle est loin de restituer l'importance de ce concept pour les Mandaloriens. De fait, la dualité de cette émotion correspond tout a fait à ce peuple pétri de contradictions.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Nourriture et Boisson
Les soldats comme les nomades ont besoin d'une nourriture facilement transportable, nourrissante et qui, de préférence n'a pas besoin d'être cuisinée trop longtemps. Les Mandaloriens ne font pas exception. Ils possèdent quelques plats spécifiques qu'on finit lentement par apprécier mais qui s'apparentent surtout à des rations militaires.
Le gihaal est un mélange au poisson séché comme le pemmican, une mixture nourrissante à la graisse et aux protéines, qui peut se conserver des années sans être réfrigérée mais dont l'arôme âcre et tenace déplaît à beaucoup.
Les Aruetiise trouvent d'autres plats mandaloriens plus acceptables. Le uj'alayi (gâteau au uj) est un gâteau très dense, plat et extrêmement sucré, fait de noix pilées, de fruits séchés, d'épices et de sirop parfumé au uj'jayl.
Le tihaar est un alcool fort et incolore fabriqué à partir de n'importe quel fruit disponible et ressemblant à de l'eau-de-vie. Le net'ra gal (bière noire) est une bière douce rappelant beaucoup le stout ou le porter. Le shig est une infusion d'herbes et d'épices bue chaude, souvent préparée à partir d'une herbe poussant rapidement et possédant un goût d'agrume appelée behot.
Les soldats comme les nomades ont besoin d'une nourriture facilement transportable, nourrissante et qui, de préférence n'a pas besoin d'être cuisinée trop longtemps. Les Mandaloriens ne font pas exception. Ils possèdent quelques plats spécifiques qu'on finit lentement par apprécier mais qui s'apparentent surtout à des rations militaires.
Le gihaal est un mélange au poisson séché comme le pemmican, une mixture nourrissante à la graisse et aux protéines, qui peut se conserver des années sans être réfrigérée mais dont l'arôme âcre et tenace déplaît à beaucoup.
Les Aruetiise trouvent d'autres plats mandaloriens plus acceptables. Le uj'alayi (gâteau au uj) est un gâteau très dense, plat et extrêmement sucré, fait de noix pilées, de fruits séchés, d'épices et de sirop parfumé au uj'jayl.
Le tihaar est un alcool fort et incolore fabriqué à partir de n'importe quel fruit disponible et ressemblant à de l'eau-de-vie. Le net'ra gal (bière noire) est une bière douce rappelant beaucoup le stout ou le porter. Le shig est une infusion d'herbes et d'épices bue chaude, souvent préparée à partir d'une herbe poussant rapidement et possédant un goût d'agrume appelée behot.
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Armure
Demandez à n'importe quel personne ce qu'elle associe le plus avec les Mandaloriens, et elle vous répondra probablement qu'il s'agit de leurs armures. Les Mando'ade la nomment beskar'gam, ce qui signifie peau de fer et souligne le rôle central qu'elle joue dans leur vie.
L'armure, et en particulier son casque intégral au viseur en forme de T si caractéristique, constitue l'image la plus marquante que la galaxie se fait des Mando'ade. Cette armure est très prisée, en particulier si elle est faite au moyen du beskar (du fer mandalorien), métal quasiment imperméable qui tire sa force remarquabe non seulement de ses propriétés naturelles mais aussi des techniques de métallurgie mandaloriennes. L'ajout de carbone dans la fonderie crée, en effet, une structure moléculaire plus légère que celle des métaux normaux et pourtant extraordinairement résistante. Des pliages répétés du métal durant la forge améliorent encore la solidité du beskar. Ce dernier compte parmi les métaux les plus recherchés, comme le cortosis.
L'armure mandalorienne est donc souvent transmise de génération en génération, en particulier du type beskar. Elle est soigneusement personnalisée afin de correspondre aux besoins et aux goûts de son porteur, et elle est utilisée par les deux sexes.
Les couleurs et les marques de l'armure peuvent indiquer de nombreuses choses, du clan à la famille de son porteur jusqu'à des concepts plus éphémères comme l'état d'esprit ou une mission particulière. La couleur or représente une quète de vengeance, et noire de justice. Les Mando'ade repeignent souvent leur armure d'une autre couleur s'ils doivent s'acquitter d'une tâche particulière ou s'ils ont changé de clan. A l'exception de celles des Mandalore, les marques ne correspondent jamais à un rang précis, concept difficilement saisissable pour ce peuple. Certains Mand'alore sont, en outre, connus pour s'éloigner de l'argent et du rouge qui leurs sont généralement associés.
Mais parfois, la couleur de l'armure exprime simplement une préférence personnelle. Le bleu et le vert sont particulièrement populaires. Si d'autres soldats privilégient le camouflage, les Mandaloriens ne semblent pas craindre d'être remarqués : "Nous voir venir est une chose, pouvoir réagir à temps en est une autre " est un dicton mando courant.
Des sceaux (symboles peints sur le casque ou la plaque pectorale) indiquent souvent l'allégence, le lignage ou les êtres chèrs du porteur. Mais il peut également s'agir de marques honorifiques, comme le jai'galaar'la sur'haii'se (les yeux du faucon qui crie). Les jaig, comme on les appelles plus couramment, sont accordés par certains chefs de clan pour récompenser des actes de bravoure.
Mais quelle que soit l'importance de l'armure dans la culture mandalorienne et l'image que ses représentants se font d'eux mêmes, ils n'oublient jamais que c'est ce qui se trouve en dessous qui fait le soldat. "Verd ori'shya beskar'gam" (un guerrier est plus que son armure) est également un proverbe mando très populaire.
Les Mando'ade sont un peuple économe, et nombre d'entre eux amassent des fortunes considérables. Bien que les pratiques bancaires modernes poussent la plupart d'entre eux à place leur crédits dans des actions ou des comptes rémunérés, ils investissent toujours une grande partie de leurs richesses dans leur amure et dans leurs armes. Les bijoux, quand ils sont portés, sont simples et fonctionnels. Ils se réduisent souvent à une lourde ceinture de métal précieux (une forme de monnaie très pratique) ou a un collier.
En particulier, les boucles d'oreilles sont vues d'un mauvais oeil car elles peuvent être arrachées durant un combat, et provoquer des blessures. Si vous rencontrez un jour un Mandalorien qui en porte une et qui fait mine de l'enlever, prenez vos jambes à votre cou : manifestement, il se prépare à passer à l'attaque !
Demandez à n'importe quel personne ce qu'elle associe le plus avec les Mandaloriens, et elle vous répondra probablement qu'il s'agit de leurs armures. Les Mando'ade la nomment beskar'gam, ce qui signifie peau de fer et souligne le rôle central qu'elle joue dans leur vie.
L'armure, et en particulier son casque intégral au viseur en forme de T si caractéristique, constitue l'image la plus marquante que la galaxie se fait des Mando'ade. Cette armure est très prisée, en particulier si elle est faite au moyen du beskar (du fer mandalorien), métal quasiment imperméable qui tire sa force remarquabe non seulement de ses propriétés naturelles mais aussi des techniques de métallurgie mandaloriennes. L'ajout de carbone dans la fonderie crée, en effet, une structure moléculaire plus légère que celle des métaux normaux et pourtant extraordinairement résistante. Des pliages répétés du métal durant la forge améliorent encore la solidité du beskar. Ce dernier compte parmi les métaux les plus recherchés, comme le cortosis.
L'armure mandalorienne est donc souvent transmise de génération en génération, en particulier du type beskar. Elle est soigneusement personnalisée afin de correspondre aux besoins et aux goûts de son porteur, et elle est utilisée par les deux sexes.
Les couleurs et les marques de l'armure peuvent indiquer de nombreuses choses, du clan à la famille de son porteur jusqu'à des concepts plus éphémères comme l'état d'esprit ou une mission particulière. La couleur or représente une quète de vengeance, et noire de justice. Les Mando'ade repeignent souvent leur armure d'une autre couleur s'ils doivent s'acquitter d'une tâche particulière ou s'ils ont changé de clan. A l'exception de celles des Mandalore, les marques ne correspondent jamais à un rang précis, concept difficilement saisissable pour ce peuple. Certains Mand'alore sont, en outre, connus pour s'éloigner de l'argent et du rouge qui leurs sont généralement associés.
Mais parfois, la couleur de l'armure exprime simplement une préférence personnelle. Le bleu et le vert sont particulièrement populaires. Si d'autres soldats privilégient le camouflage, les Mandaloriens ne semblent pas craindre d'être remarqués : "Nous voir venir est une chose, pouvoir réagir à temps en est une autre " est un dicton mando courant.
Des sceaux (symboles peints sur le casque ou la plaque pectorale) indiquent souvent l'allégence, le lignage ou les êtres chèrs du porteur. Mais il peut également s'agir de marques honorifiques, comme le jai'galaar'la sur'haii'se (les yeux du faucon qui crie). Les jaig, comme on les appelles plus couramment, sont accordés par certains chefs de clan pour récompenser des actes de bravoure.
Mais quelle que soit l'importance de l'armure dans la culture mandalorienne et l'image que ses représentants se font d'eux mêmes, ils n'oublient jamais que c'est ce qui se trouve en dessous qui fait le soldat. "Verd ori'shya beskar'gam" (un guerrier est plus que son armure) est également un proverbe mando très populaire.
Les Mando'ade sont un peuple économe, et nombre d'entre eux amassent des fortunes considérables. Bien que les pratiques bancaires modernes poussent la plupart d'entre eux à place leur crédits dans des actions ou des comptes rémunérés, ils investissent toujours une grande partie de leurs richesses dans leur amure et dans leurs armes. Les bijoux, quand ils sont portés, sont simples et fonctionnels. Ils se réduisent souvent à une lourde ceinture de métal précieux (une forme de monnaie très pratique) ou a un collier.
En particulier, les boucles d'oreilles sont vues d'un mauvais oeil car elles peuvent être arrachées durant un combat, et provoquer des blessures. Si vous rencontrez un jour un Mandalorien qui en porte une et qui fait mine de l'enlever, prenez vos jambes à votre cou : manifestement, il se prépare à passer à l'attaque !
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Re: Les Mandaloriens Peuple et Cultures (Extrait du Lucasfilm N°58 par Karen Traviss)
Face aux Mando'ade
Les Mandaloriens sont biens plus sociables que ce que l'on croit généralement. La plupart des Aruetiise les rencontrent à la pointe d'un blaster mais, dans des circonstances plus tranquilles, ils se révèlent généralement des hôtes prévenants et d'honnêtes partenaires commerciaux. Tant que vous respectez les règles suivantes, vous n'aurez jamais besoin de faire face à leur côté plus agressif...
- Dites ce que vous pensez.
- Ne refusez jamais une boisson ou un repas : pour les peuples nomades, qui vivent au jour le jour, il s'agit de la plus grande marque de respect dont ils peuvent témoigner envers un invité.
- Ne faites jamais des avances à un Mando'ad, quel que soit son sexe, à moins que vous ne prévoyiez de vous marier et de devenir vous même un Mando.
- Regardez votre interlocuteur dans les yeux ou, s'il porte son casque, regardez directement la partie horizontale du viseur.
- Enlevez vos bottes quand vous entrez chez lui.
- Payez vos dettes immédiatement.
- Soyez aux petits soins pour ses enfants.
- Traitez les Mando'ade âgés avec considération. Tout Mando qui survit assez longtemps pour atteindre un âge vénérable doit être un guerrier exceptionnel et sera probablement toujours capable de vous faire payer chèrement votre manque de respect.
Certains Aruetiise trouvent le caractère et la culture mandaloriennes si attrayants qu'ils finissent par les rejoindre. Cette vie est difficile, mais ceux qui accordent de la valeur à la loyauté, à la responsabilité familiale et à la passion y trouvent ce qu'ils cherchent.
Après tout, aliit ori'ysha tal'din : la famille ne se limite pas aux liens du sang.
Les Mandaloriens sont biens plus sociables que ce que l'on croit généralement. La plupart des Aruetiise les rencontrent à la pointe d'un blaster mais, dans des circonstances plus tranquilles, ils se révèlent généralement des hôtes prévenants et d'honnêtes partenaires commerciaux. Tant que vous respectez les règles suivantes, vous n'aurez jamais besoin de faire face à leur côté plus agressif...
- Dites ce que vous pensez.
- Ne refusez jamais une boisson ou un repas : pour les peuples nomades, qui vivent au jour le jour, il s'agit de la plus grande marque de respect dont ils peuvent témoigner envers un invité.
- Ne faites jamais des avances à un Mando'ad, quel que soit son sexe, à moins que vous ne prévoyiez de vous marier et de devenir vous même un Mando.
- Regardez votre interlocuteur dans les yeux ou, s'il porte son casque, regardez directement la partie horizontale du viseur.
- Enlevez vos bottes quand vous entrez chez lui.
- Payez vos dettes immédiatement.
- Soyez aux petits soins pour ses enfants.
- Traitez les Mando'ade âgés avec considération. Tout Mando qui survit assez longtemps pour atteindre un âge vénérable doit être un guerrier exceptionnel et sera probablement toujours capable de vous faire payer chèrement votre manque de respect.
Certains Aruetiise trouvent le caractère et la culture mandaloriennes si attrayants qu'ils finissent par les rejoindre. Cette vie est difficile, mais ceux qui accordent de la valeur à la loyauté, à la responsabilité familiale et à la passion y trouvent ce qu'ils cherchent.
Après tout, aliit ori'ysha tal'din : la famille ne se limite pas aux liens du sang.
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